gilson jean julien
Publié : 22 mars 2025, 09:53
Bonjour,
Un relevé d'acte indique qu'un Jean-Julien GILSON et qu'une Elisabeth LEJEUNE sont parrain et marraine de Marie Elisabeth DACHET, fille de Gaspar DACHET et de Marie Lamys. Je sais que Joseph GILSON et Elisabeth LEJEUNE se se sont mariés à Faulx-Les-Tombes le 15 juin 1722. Ce Jean-Julien est donc très intimement lié à Elisabeth LEJEUNE. Mais je bloque sur Joseph et je ne trouve rien sur ce Jean Julien. C'est ce parrainage qui pourrait aider.
Ce parrainage est antérieur au mariage de Joseph GILSON (je crois que c'était en 1721).
J'ai exploré le mariage Nicolas LEJEUNE (1664) avec Marie HENROT. On y trouve une fille Marguerite LEJEUNE mariée à BOUCHAT Philippe le 6/2/1710.
Mon Elisabeth LEJEUNE (femme de Joseph GILSON) a une fille : Maie Elisabeth. Les parrain et marraine de cette fille sont Noël ETIENNE et Marie BOUCHAT. Cette Marie-Elisabeth est née le 17/9/1725. Donc, je me dis que, possiblement, mon Elisabeth LEJEUNE est liée à BOUCHAT.
C'est un rappel, je sais, d'un premier courrier mais j'éclaircis ce Jean-Julien GILSON (ou GILON)
Un relevé d'acte indique qu'un Jean-Julien GILSON et qu'une Elisabeth LEJEUNE sont parrain et marraine de Marie Elisabeth DACHET, fille de Gaspar DACHET et de Marie Lamys. Je sais que Joseph GILSON et Elisabeth LEJEUNE se se sont mariés à Faulx-Les-Tombes le 15 juin 1722. Ce Jean-Julien est donc très intimement lié à Elisabeth LEJEUNE. Mais je bloque sur Joseph et je ne trouve rien sur ce Jean Julien. C'est ce parrainage qui pourrait aider.
Ce parrainage est antérieur au mariage de Joseph GILSON (je crois que c'était en 1721).
J'ai exploré le mariage Nicolas LEJEUNE (1664) avec Marie HENROT. On y trouve une fille Marguerite LEJEUNE mariée à BOUCHAT Philippe le 6/2/1710.
Mon Elisabeth LEJEUNE (femme de Joseph GILSON) a une fille : Maie Elisabeth. Les parrain et marraine de cette fille sont Noël ETIENNE et Marie BOUCHAT. Cette Marie-Elisabeth est née le 17/9/1725. Donc, je me dis que, possiblement, mon Elisabeth LEJEUNE est liée à BOUCHAT.
C'est un rappel, je sais, d'un premier courrier mais j'éclaircis ce Jean-Julien GILSON (ou GILON)